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Le projet RELIANCE est un vœu pieu...

Selon le temps disponible, l’énergie, les finances, les belles rencontres... il verra le jour à moyen, long terme !

    Pour cela il y aura besoin d’une reconnaissance et d’un financement des Pouvoirs Publics et des Collectivités Territoriales mais aussi d’un Réseau engagé de partenaires sociaux et de la Protection Animale, de bénévoles, de parrains-marraines réunis autour d’un bel élan solidaire :


  • pour le maintien du lien homme/animal
  • pour favoriser le droit à la présence rassurante et réconfortante d’un animal familier, partenaire de vie, auprès des ainés, des personnes handicapées, fragilisées, en difficulté
  • dans le respect des besoins physiologiques des animaux et avec la garantie de leur bientraitance.


    Récemment, j’ai eu connaissance du cas douloureux d’une personne âgée qui venait d’entrer en Maison de Retraite et dont la famille n’a pas pris en charge le vieux compagnon à 4 pattes (un caniche de 12 ans)... Suite à appel à sauvetage et à adoption, une personne au grand cœur a accueilli l’animal mais la relation que la dame entretenait avec son ami le chien s’est brutalement arrêtée...


    Cette situation navrante, une parmi tant d’autres, donne à penser qu’il est nécessaire de constituer une chaine associative de solidarité pour des situations de vie comme :


  • une hospitalisation : aider à trouver une solution de garde provisoire pour l’animal jusqu’au retour à domicile.
  • une entrée longue ou définitive en établissement : placer l’animal dans une famille d’accueil et envisager des visites régulières à la personne avec l’animal pour maintenir le lien affectif ou négocier l’accueil dans la structure de la personne et de son animal.
  • une grande solitude à domicile : aider la personne à bénéficier du réconfort régulier ou permanent d’un animal adapté avec un soutien concret et responsable pour la prise en charge.
  • Mais aussi :


  • envisager le devenir de l’animal de compagnie, en douceur, avec la personne âgée, malade avant le décès.
  • soutenir (écoute, conseils, don de nourriture, soins aux animaux) des personnes fragilisées, en précarité ou encore sans domicile fixe (SDF).
  • placer en famille d’accueil ou faire adopter les animaux de personnes incarcérées dans le cadre d’une convention avec l’administration pénitentiaire avec visite au détenu.

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